Écrit

Une saison 2009 difficile
Après une bonne avant-saison 2009, la saison touristique a été plus difficile dans le Pays de Brest. La fréquentation en juillet apparaît globalement décevante. En août, les résultats sont meilleurs et permettent parfois de compenser le déficit de fréquentation constaté le mois précédent. La fin de saison s’avère satisfaisante, à l’exception du secteur du tourisme d’affaires.

Les marchés fonciers dans le finistère

Avec plus de 6 600 ha échangés par an, les marchés fonciers finistériens représentent près de 1 % de la superficie du département. Les terres agricoles constituent les trois-quarts des surfaces échangées mais seulement 9 % du montant des transactions (257 millions d’euros annuels). L’autre quart des terrains vendus est composé de terres vouées à l’urbanisation, les plus convoitées et enfin de terrains aménagés pour l’habitat ou l’activité.

L’édition 2008 de l’observatoire social de l’agglomération brestoise, outre les données sociales émanant de nos partenaires, nous permet pour la première fois depuis 1999, de disposer d’estimations issues du recensement de la population.

Synthèse urbaine - Dossier d'Octant N°53 (juillet 2010)

Synthèse urbaine - Dossier d'Octant N°53 (juillet 2010)

Les agences d’urbanisme et de développement de Bretagne ADEUPa (Brest), AUDELOR (Lorient), AUDIAR (Rennes) et CAD 22 (Saint-Brieuc), en lien avec la Région Bretagne, ont réalisé une étude sur les attentes que suscite le projet Bretagne à Grande Vitesse dans les différents territoires bretons à l’horizon 2017. Cette étude a été bâtie à partir des témoignages et des perceptions de 240 acteurs économiques et institutionnels bretons.

Afin d’apporter leur contribution au groupe de travail « enjeux » du Comité régional Agenda 21 (DREAL et Région Bretagne), les trois agences d’urbanisme de Bretagne (Brest, Lorient et Rennes) se sont associées pour réaliser ce document sur l’enjeu que représente l’économie d’espace dans les stratégies de développement et d’aménagement durables en Bretagne.

En 2009, l’impact de la crise économique s’est fait ressentir par les partenaires privés et publics avec un recul de l’activité « immobilier de bureaux ». Celui-ci se traduit par une baisse des surfaces placées et une hausse importante de l’offre disponible. L’agglomération brestoise est en attente d’une conjoncture plus favorable qui permettrait le placement de surfaces récemment construites ou le lancement de nouveaux programmes situés principalement en périphérie.